Jura, février 2010.
La température de couleur (de quoi ? _ De cou-leur !) s’exprime en degrés kelvin. L’oeil estompe les différences de température entre les sources lumineuses mais on se rend bien compte que la lumière des ampoules à filament est plus jaune que celle de la lumière du jour. L’image photographique est beaucoup plus sensible à cette température car l’appareil ne corrige pas forcément de manière aussi performante que l’oeil. Une illustration de cette réalité physique : la lumière des intérieurs est une lumière tungstène (2400 degrés kelvin) alors que celle du premier plan de la neige est celle du flash intégré de l’appareil photo (proche de celle e la lumière du jour).
On voit que l’ambiance d’une photographie est largement déterminée par la température de couleur et son éventuelle correction logicielle.