Lyon, février 2012.
Quand le rythme ternaire s’invite sous les arcades de l’opéra de Lyon, c’est l’intrusion de la modernité en son sein. Architecture mixte, un temps polémique, mais qui a su trouver sa place dans le paysage urbain. Les musiques contemporaines prennent elles aussi leur place dans un environnement d’abord souvent hostile, puis s’adoucissant au fur et mesure que l’oreille s’habitue.