Le post-traitement s’est démocratisé au même titre que la publication d’images sur la toile, et c’est très bien ainsi. Mais il a comme toute technique émergente tendance à prendre une place excessive aujourd’hui je pense, avant que le mouvement de balancier ne revienne vers un usage plus retenu. Qui n’a pas subi ces diaporamas agrémentés de musique douce(reuse) mettant en scène les plus beaux paysages africains ou les sublimes couleurs des perroquets amazoniens ? A moins que ces volatiles ne soient ukrainiens, résidus du zoo de Tchernobyl ?