Nice, Menton, printemps 2011 et 2012.
Le tropisme pour la mer tient sans doute à son pouvoir hypnotique. Simplicité de la platitude infinie. La regarder vous renvoie à vous-même plus immédiatement que tout autre paysage, texte ou musique. J’habite le monde.
Tout proches, des moyens d’échapper à soi-même. Étalages du prêt-à-consommer… emballages, bocaux, amoncellement, accumulation. Tout est calculé pour attirer l’œil. Trop sollicité, l’œil se dérobe, le ventre prend le dessus. Nausée. Je suis un pigeon.