Lyon, quartier Saint-Jean, octobre 2011.
Il est de ces lieux de transitions dont le caractère volatile est palpable. L’impression de découvrir une intimité offerte. Passage furtif dans une zone de semi-liberté, de presque-chez-soi. La vague sensation de commettre une intrusion se dispute avec la raison rappelant à la conscience l’autorisation d’être là. Entre ouverture et fermeture, comme une porte entrebâillée.