Nice, mai 2012.
L’eau douce rappelle aux passants son origine par le jeu des reflets. Temps de l’enfance. Elle s’en va rejoindre ensuite le grand bouillon maritime, sujette aux vents, aux courants, aux rides. La quiétude n’est plus : elle est au travail, elle vibre, passe d’une fausse torpeur à la vraie colère. Temps de la maturité.