Lyon, Parc de la Tête d’Or, janvier 2016.
Sans la photo précédente, celle-ci n’aurait sans doute jamais vécu. L’appareil une fois sorti, tout s’enchaîne. Le regard s’aiguise, devient plus sensible aux contrastes, aux strates. Je lutte contre la frénésie, je déclenche avec parcimonie pour essayer de ne pas le regretter.