Lyon Part-Dieu, novembre 2011.
Cette ville dans la ville, temple de la consommation frénétique, perfuse à ses patients des traitements de choc. Spasmes et crises calmés à coups de carte bancaire. Avalanche de couleurs, de contrastes, une sonorisation permanente de l’espace pour que l’oreille ne soit pas en reste.
En contrepoint, le blanc, le pastel, l’apparence neutre d’un espace virginal baigné de lumière s’élevant vers les cieux. Une porte de sortie ? Une illusion car une fois dans les hauteurs, il faut en fait replonger dans le grouillement pour enfin pouvoir accéder aux parkings et au chemin de la liberté…